lundi 17 février 2014

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«  Il est déjà dix heures et demie lorsque L’Oiseau bleu, donné par une compagnie en tournée, prend fin au Théâtre lyrique. Je ne quitte pas la salle tout de suite ; il me plaît de contempler les rangées de fauteuils vides : qui croirait que, quelques instants auparavant, ils accueillaient encore, avec la pompe exotique de certains bals, tous ces corps parfumés ; j’aime assister à la transformation, en trois minutes, de toute cette splendeur en une crypte sombre et effrayante. »