mardi 5 avril 2011

167



« J’accepte mal qu’une journée, une rencontre, une réunion fortuite, un endroit regardé en passant n’aient pas un sens ; j’accepte mal de ne pouvoir lui trouver, lui donner une cohérence qui, une fois découverte, me paraît issue de la chose même : son sens pour moi. D’où l’obstination de ces choses. »