emm. & m.
samedi 30 avril 2011
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« Des villes que l’on ne vit jamais. Pour l’étoile
— Au ciel et
ici-bas
— qui montra le chemin
Que l’on ne sut pas suivre. — Esmeralda ! son voile !
Son pas ! le rythme effréné de ses tambourins »
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