« Pouvoir ici ou là dire sur le ton du regret sincère : « Pourquoi en fut-il ainsi ? », comme cela ressemble à une aventure, comme cela flatte agréablement ! Ceux qui ont commis une faute peuvent si gentiment s’apaiser, se faire des bonnes grâces, se témoigner une douce miséricorde, ils rentrent toujours en faveur d’eux-mêmes. Ils s’exclament : « Je ne voudrais pas être différent », et il existe aussi une vérité extrêmement simple, selon laquelle les joies les plus raffinées sont volontiers à ceux qui sont privés de joies.
La souffrance ne veut-elle pas aussi être nourrie ? »