dimanche 11 mars 2012

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« Cette terre heureuse, dénommée Breanza, de « bre » qui signifie chanceux, compte parmi les plus riantes et les plus verdoyantes de notre province et c’est l’assise naturelle de ces très vastes  et très envoutantes demeures qu’édifièrent nos plus remarquables ancêtres pour leurs heures oisives, après les querelles citadines et les importunités des jalousies politiques : en les entourant d’idoines et adéquates plantations, qui dominant la banalité peuplent d’un peuple fantasque et noble d’anciens jardins. »